Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Irresponsabilité de l’Etat

04/08/2009 16:05

Irresponsabilité de l’Etat


La décision du Ministre de l’Agriculture français de se plier à une injonction absurde de l’Union Européenne sur la question des subventions aux producteurs de fruits et légumes est symbolique de la déliquescence de l’Etat français.
Le Gouvernement ne se conçoit plus que comme l’exécutant de décisions prises ailleurs sans aucune légitimité politique.
Comment, en effet, accepter la demande de remboursement de l’Union Européenne par des producteurs de fruits et légumes qui n’ont fait que profiter de dispositifs décidés et mis en œuvre par les prédécesseurs du Ministre actuel de l’Agriculture.
Il n’y a donc plus de continuité de l’Etat, ni de crédibilité de l’action gouvernementale. Pourquoi ? Tout simplement car le Gouvernement préfère obéir à l’Union Européenne qu’il considère comme une autorité supérieure, que de respecter les principes de tout Etat de droit.
Cela en dit long sur la résignation de notre caste dirigeante et son incapacité à assumer ses responsabilités.
Cela pose aussi un problème majeur de gouvernant, car comment désormais le citoyen peut s’y retrouver si l’autorité qui lui a accordée une subvention, demande 17 ans après les faits son remboursement (la Commission réclame le remboursement des subventions versées de 1992 à 2002) ?
Dans cette affaire, la moindre des choses serait que l’Etat ne se retourne pas contre les producteurs de fruits et légumes et règle ses comptes avec Bruxelles.
L’instant de vérité est là devant nous : soit la France accepte la vision dogmatique de la libre concurrence de Bruxelles et alors c’est la mort de notre agriculture dont les surcoûts sociaux et environnementaux ne pourront plus être compensés, soit le Gouvernement met en pratique ses discours électoraux et dit alors clairement à Bruxelles que la France refuse cette interprétation des traités. Mais il faudrait aussi que nos dirigeants cessent de signer ces traités sans les lire !
Affaire à suivre …
NDA





Remboursement d’aides par les producteurs de fruits et légumes : DLR refuse le défaitisme de Bruno Le Maire

03/08/2009 18:16

Remboursement d’aides par les producteurs de fruits et légumes : DLR refuse le défaitisme de Bruno Le Maire


COMMUNIQUE DE PRESSE

Debout la République demande au Ministre de l’Agriculture d’être aux côtés des producteurs de fruits et légumes français plutôt que d’être l’avocat des dogmes de la Commission de Bruxelles

La décision de l’Union Européenne de demander aux producteurs de fruits et légumes français de rembourser des aides reçues entre 1992 et 2002 doit être refusée par la France.

En cédant à cet ultimatum de Bruxelles, le ministre de l’Agriculture entamerait définitivement la crédibilité de l’Etat. Car n’oublions pas que ce sont les gouvernements successifs français qui ont mis en œuvre ces aides.

On ne peut pas demander aux agriculteurs français déjà en grande difficulté de rembourser des sommes considérables dont l’opportunité a été décidée par les prédécesseurs de Bruno Le Maire. Ce serait la fin de la continuité de l’Etat.

De surcroît, la décision de Bruxelles est totalement dogmatique car dans le secteur des fruits et légumes la libre concurrence qui motive la décision de la commission s’apparente plutôt à une véritable anarchie, certains producteurs européens ou extra européens se livrant à un dumping social et environnemental au détriment des producteurs français.

Refuser des aides compensatrices, c’est condamner à mort la filière française des fruits et légumes, c’est faire le jeu de la jungle ultralibérale.

Debout la République demande au Ministre de l’Agriculture d’être aux côtés des producteurs de fruits et légumes français plutôt que d’être l’avocat des dogmes de la Commission de Bruxelles.

Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République






Daniel Percheron et les Affranchis du Pas-de-Calais

02/08/2009 15:37

Daniel Percheron et les Affranchis du Pas-de-Calais


Un article intéressant  parut dans Marianne  du 18 juillet 2009, dénonçant  le rôle de la fédération socialiste au cours des élections municipales d’Hénin-Beaumont… Si il existe encore des socialistes qui croivent encore au fonctionnement démocratique de leur Fédération départementale, je les invite à lire cet article de toute urgence... La désillusion sera cruelle !

PW






Universités de rentrée DLR

02/08/2009 15:12

Universités de rentrée DLR


Cette année, nos Universités de rentrée se tiendront les samedi 12 et dimanche 13 septembre, sur le thème : « La crise, jusqu’à quand, comment en sortir ? ». Nous vous attendons nombreux pour faire le point sur les perspectives de DLR et débattre avec nos invités dont les noms seront prochainement communiqués.
Pour la 7ème édition de ses Universités de rentrée à Dourdan, Debout la République vous offre la possibilité de vous inscrire et de régler les frais de participation directement en ligne. Nous invitons à privilégier ce mode d’inscription, qui permet une gestion plus fluide et plus efficace de l’organisation de ces journées (ou alors par chèque - en imprimant et en nous retournant ce formulaire)
 
Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à nous contacter : 01 69 49 17 37 et par courriel : courrier@debout-la-republique.fr
 
Nous vous rappelons que les inscriptions se font dans la limite des places disponibles.





Le vrai remède à la crise : réduire la voilure de la finance

02/08/2009 14:53

Le vrai remède à la crise : réduire la voilure de la finance


Il faut dégonfler la bulle financière !
En 2009, le montant des bonus distribués par Goldman Sachs devrait atteindre 20 milliards de dollars, 700 000 dollars par employé, un niveau proche du record de 2007. Les leçons de la crise n’ont décidemment pas été tirées.
Quelques leçons de la crise
Et pourtant, la violence de la crise économique, la plus grave depuis 80 ans, devrait permettre une véritable remise en question. En effet, de nombreux économistes en ont souligné avec raison les causes : une prise de pouvoir des actionnaires dans les entreprises, qui aboutit à une demande de rentabilité financière exagérée, une spéculation excessive qui amplifie les mouvements des marchés, et une déréglementation qui a permis aux banques de prendre des risques inconsidérés.
Mais curieusement, peu de personnes se posent la question toute simple de la taille de la sphère financière. Marianne avait montré il y a quelques mois que les échanges financiers représentaient aujourd’hui 50 fois les transactions réelles. Du coup, il n’est pas étonnant que chaque hoquet du monde financier déstabilise une économie réelle beaucoup plus petite. En revanche, il est pour le moins paradoxal que ce soit la plus petite des deux sphères qui soit venue à la rescousse de la première…
Il faut réduire la sphère financière
La réforme du libre-échange et du système monétaire sont des réponses essentielles à la crise économique mais elles ne résoudront pas à elles seules les déséquilibres économiques que nous affrontons. L’existence d’une sphère financière aussi importante par rapport à l’économie productive est profondément malsaine. C’est un peu comme si un arbre de 50 mètres de haut reposait sur des racines qui ne dépassaient pas un mètre. À la moindre tempête, l’arbre s’effondre, arrachant ses racines.
Le déséquilibre qui a été atteint après trois décennies de déréglementation encouragée par les gouvernements de gauche comme de droite est une épée de Damoclès permanente pour l’économie mondiale. D’ailleurs, au fur et à mesure que la bulle financière grossit, l’impact de ses crises s’amplifie sur l’économie réelle : malgré le krach boursier de 1987, l’économie mondiale avait connu deux années de forte croissance en 1988 et 1989.
Les crises financières de la fin des années 90 avait provoqué un ralentissement économique dans les pays occidentaux et un véritable effondrement des économies émergentes. Le krach de 2001 a provoqué un ralentissement plus important que la crise des années 90. Enfin, la crise actuelle s’est transmise en un temps record de la sphère financière à la sphère réelle. Phénomène inquiétant, les soubresauts de la finance se font sentir de manière de plus en plus violente dans l’économie productive.
La politique à la corbeille
D’ailleurs, les politiques publiques sont de plus en plus déterminées par les soubresauts des marchés financiers. Une petite baisse de tension ? Aussitôt, la Fed baisse ses taux pour relancer. Des banques au bord de la faillite ? Les Etats prêtent de l’argent, garantissent les bilans ou les rachètent. L’économie réelle a été mise au service de l’économie financière dans une inversion de valeurs spectaculaires par rapport aux Trente Glorieuses.
Il n’y a pas 36 solutions pour revenir sur cette perversion. Il faut réduire la taille de la bulle financière, réduire les bilans des banques, et réduire le montant des transactions. Cette politique réduira la capacité de nuisance de la sphère financière sur l’économie réelle. Les moyens sont simples : une taxe Tobin et une révision drastique des normes prudentielles. La première réduira la spéculation par la taxation de chaque transaction tout en faisant contribuer la finance à la collectivité. La seconde limitera l’effet de levier.
La question de la taille de la sphère financière est une cause essentielle des déséquilibres économiques actuels. Malheureusement, ce problème n’est pas abordé sérieusement par la plupart des analystes. En l’absence de solutions apportées à ce problème, nous restons vulnérable à la prochaine crise.
Laurent Pinsolle





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